jeudi 30 août 2012

Willem Kalf.

3 commentaires:

giulio a dit…

Merci pour cette découverte, cher Jalel ! Les natures mortes de Kalf sont un véritable festin pour l'oeil.

Jalel El Gharbi a dit…

Je me souviens de mon émotion devant ces natures mortes qui sont bien plus qu'une représentation du visible. Je pense à ces épluchures acides disent le mouvement même de la pensée dont le progrès et le retour sur soi se confondent

Djawhar a dit…

Dans un autre sens où il n’est plus d’or, où il ne sert pas à conserver la magnificence de l’art, "le silence boit la vérité de nos vies" comme le dit si bien Christian Bobin.